BRITANNICUS
RACINE

Texte : Jean Racine

Mise en scène : Florent Siaud

 

Scénographie : Romain Fabre

Costumes : Jean-Daniel Vuillermoz

Lumières : Nicolas Descôteaux

Musiques : Julien Eclancher

Vidéo : David B. Ricard

Photos : © Nicolas Descôteaux

 

PRODUCTION : THÉÂTRE DU NOUVEAU MONDE – 2019

Description

Le jeune empereur Néron fait enlever Junie, la fiancée de son demi-frère Britannicus, afin qu’il n’épouse pas une descendante de l’empereur Auguste, ce qui pourrait l’amener à réclamer le trône. Pour la mère de Néron, la terrible Agrippine, c’est une trahison. Jusqu’à ce jour, elle régnait à travers son fils, mais le sentant s’éloigner d’elle, elle souhaitait renforcer en sous-main le pouvoir de Britannicus. Quant à Néron, son coup de force politique a sur lui une conséquence inattendue : en voyant Junie escortée par ses geôliers, il tombe violemment amoureux d’elle.

PRESSE

“Avec la collaboration inestimable de Nicolas Descôteaux (éclairages) et de David B. Ricard (vidéo), Romain Fabre a donné naissance à une véritable splendeur scénographique, une sculpture dorée qui s’abat comme un mur et palpite comme un coeur, une structure à la fois organique et géométrique, qui vit et reluit, pulse et ondule, recueille la lumière et les images, les mots et les visages ; une oeuvre d’art en soi !”

Christian St-Pierre, Le Devoir

 

“…Siaud commande à Romain Fabre un décor épuré, à Nicolas Descoteaux des éclairages riches et nuancés, et à Julien Éclancher une conception sonore envoûtante, mystérieuse voire sinistre, omniprésente.”

Yanick Comeau, Théâtralités

 

“…il faut souligner aussi le très beau décor de Romain Fabre, consistant principalement en une toile dorée au motif géométrique contemporain de losanges qui se révèle progressivement, et qui sert d’écran aux projections vidéo conçues par David B. Ricard, de pair avec les éclairages réussis de Nicolas Descoteaux et la conception sonore de Julien Éclancher qui se permet même un emprunt à la musique”

Gilles G. Lamontagne, Sors-tu?

 

“Ce dispositif présentant une iconographie théâtrale évanescente et fluide a fait suite à une ambiance lumineuse révélant les silhouettes et les visages des acteurs sous les contrastes dramatiques du clair-obscur.

Dans cette ambiance à la fois minimaliste et riche par ses facettes lumineuses et sa trame sonore syncrétique…”

Hanen Hattab, Avant-Première